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lespotteur99

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  1. Ligne de Perpignan à Villefranche - Vernet-les-Bains La ligne de Perpignan à Villefranche - Vernet-les-Bains est une ligne ferroviaire française, à écartement standard et à voie unique électrifiée, du département des Pyrénées-Orientales. D'une longueur de 47 kilomètres, elle assure la liaison entre Perpignan et Villefranche-de-Conflent, via Prades et la basse vallée de la Têt. Depuis 2009, elle assure le lien avec la ligne de Perpignan à Figueras (LGV), dans sa partie initiale (Perpignan – Le Soler), et est donc partiellement empruntée par des trains à grande vitesse et des convois de fret. Historique[modifier | modifier le code] Chronologie des ouvertures[modifier | modifier le code] 10 décembre 18681, 23 km de Perpignan à l'Ille-sur-Têt par la Compagnie PP 15 mars 18701, 4 km de l'Ille-sur-Têt à Bouleternère par la Compagnie PP 3 janvier 18772, de Bouleternère à Prades par l'administration du séquestre. 2 juin 18953, de Prades à Villefranche-de-Conflent par la Compagnie du Midi4. De Perpignan à Prades (1863-1877)[modifier | modifier le code] L'Assemblée nationale vote le 20 avril 1863 une loi autorisant une subvention de 2 millions de francs pour l'exécution d'un chemin de fer de Perpignan à Prades, le Sénat, après examen en commission, suit les conclusions du rapporteur Élie de Beaumont en votant le texte lors de la séance du 1er mai 18635. La loi autorisant la subvention est promulguée le 6 mai 18636. La déclaration d'utilité publique est décrétée le 18 juin 18637. Ce même décret annonce la mise en adjudication de la concession et précise les conditions d'attribution de la subvention dont le maximum possible est de deux millions de francs7. Le paiement se fera en six termes semestriels égaux, l'adjudicataire devant à chaque terme justifier du paiement d'une somme triple pour des achats concernant directement la construction du chemin de fer7. Le 22 août 1863 à l'hôtel du ministère de l'agriculture, du commerce et des travaux publics, a lieu l'adjudication du chemin de fer de Perpignan à Prades. Il y a une seule soumission provenant d'Edmund Sharpe (ou Edmond8), ingénieur et architecte britannique, qui propose une réduction de mille francs sur la subvention maximum de deux millions de francs. Le soumissionnaire ayant fait un dépôt de garantie l'adjudication est déclarée valable et confirmée par le décret 29 août 18639. Edmund Sharpe commence les travaux avant de céder sa concession à la Compagnie du chemin de Fer de Perpignan à Prades (PP) : société anonyme constituée à Paris par acte notarié du 23 août 186710. La Compagnie PP met en service une première section entre les gares de Perpignan et d'Ille-sur-Têt le 10 décembre 18682, puis un tronçon entre Ille-sur-Têt et Bouleternère le 15 mars 18702. C'est une compagnie fermière11 qui gère l'exploitation de la ligne de 27 kilomètres qui comporte six stations12 : Perpignan (en commun avec la compagnie du Midi), Le Soler, Saint-Féliu-d'Avall, Millas et Bouleternère. Ne parvenant pas à terminer la ligne dans le temps imparti par le cahier des charges, la Compagnie PP adresse à l'administration, le 8 avril 1870, une demande de prolongation du délai pour l'achèvement de la construction de la ligne, elle est acceptée et confirmée par le décret Impérial du 24 juin 1870 qui repousse la date limite au 1er juin 187113. La ligne est cédée par l'État à la Compagnie des chemins de fer du Midi et du Canal latéral à la Garonne par une convention signée entre le ministre des Travaux publics et la compagnie le 9 juin 1883. Cette convention est approuvée par une loi le 20 novembre suivant14. De Prades à Villefranche-de-Conflent (1879-1895)[modifier | modifier le code] Le prolongement de la ligne par un chemin de fer de 15 km entre Prades et Olette figure au numéro 166 du « plan Freycinet », elle fait partie des lignes d'intérêt général inscrites dans la loi du 17 juillet 187915. La loi du 9 mars 188016 déclare d'utilité publique le chemin de fer de Prades à Olette, le conseil général demande que la section de Prades à Villefranche soit rapidement exécutée mais que soient reprises les études pour la suite du tracé en prenant en compte les difficultés du tracé, la desserte des sites miniers et le raccordement avec la frontière espagnole. Mais la compagnie fait faillite et c'est l'État qui récupère la ligne. La section de « Prades à Olette » est finalement concédée à titre définitif à la Compagnie des chemins de fer du Midi et du Canal latéral à la Garonne par une convention signée entre le ministre des Travaux publics et la compagnie le 9 juin 1883. Cette convention est approuvée par une loi le 20 novembre suivant14. La ligne est mise en service le 2 juin 1895 jusqu'à Villefranche-de-Conflent. Finalement une convention signée le 5 décembre 1902 entre le ministre des Travaux publics et la Compagnie des chemins de fer du Midi et du Canal latéral à la Garonne prévoit le remplacement de la construction de la section de Villefranche-de-Conflent à Olette par la réalisation d'une ligne à voie métrique de Villefranche à Bourg-Madame. Cette convention est approuvée par une loi le 4 mars 190317. C'est ainsi que la gare de Villefranche-de-Conflent devient la tête de la ligne de Cerdagne, à voie métrique, qui assure à partir de 1910 la liaison avec la Cerdagne et l'arrière-pays pyrénéen. Électrification[modifier | modifier le code] La ligne est utilisée par la Compagnie du Midi comme laboratoire d'études de la traction électrique : des caténaires sont installées en 1912, alimentées en 12 kV 16 2/3 Hz. Plusieurs prototypes seront testés, certains avec succès, principalement la 1C1 3901. La Compagnie du Midi envisage alors d'électrifier ainsi la quasi-intégralité de son réseau. Cependant, le 20 août 1920, l'État oblige les différentes compagnies à électrifier en 1 500 V continu : le 12 kV 16 2/3 Hz est abandonné, sauf sur la ligne Perpignan - Villefranche-de-Conflent. Isolée électriquement, l'exploitation de la ligne continue en 12 kV 16 2/3 Hz, grâce aux vaillantes automotrices de la série Z 4900 et à la 1C1 3901. À la radiation de cette dernière en 1959, les Z 4900 assurent le service des trains de voyageurs, mais aussi la traction des trains de marchandises. À bout de souffle à l'âge vénérable de 60 ans, elles sont retirées du service et la ligne est mise hors tension en 1971 et les trains y sont désormais assurés en traction thermique. Après l'électrification Narbonne-Port Bou et afin d'éviter une exploitation peu logique et donc pas rentable (c'est la seule ligne en traction thermique de la région, à exception de la section Rivesaltes-Axat de la ligne de Carcassonne à Rivesaltes), la ligne est réélectrifiée à l'économie en 1 500 V continu, avec mise sous tension le 24 mai 1984. Modernisation de la ligne[modifier | modifier le code] D'importants travaux de rénovation ont été entrepris en 2006 en parallèle à la construction de la ligne de Perpignan à Figueras (LGV). La voie a été doublée entre Perpignan et Le Soler, car ce tronçon assure le lien entre l'extrémité Nord de la nouvelle ligne et le réseau classique. De même, certaines gares ont été rénovées : rehaussement du quai, réaménagements comme à Prades. La vitesse maximale a ainsi pu être rétablie à 100 km/h sur certaines parties de la ligne. Accident de Millas[modifier | modifier le code] Article détaillé : Accident de Millas. Le 14 décembre 2017, le TER no 877660, circulant entre Villefranche et Perpignan, percute un autocar scolaire au passage à niveau no 25, sur la commune de Millas18. Cet accident fait six morts parmi les adolescents et quatorze blessés graves, tous occupants du car19,18. Le car est coupé en deux dans la violence du choc, mais le train ne déraille pas20. Pour les besoins de l'enquête judiciaire, le passage à niveau reste fermé à toute circulation. Les circulations ferroviaires sont donc interrompues entre Villefranche et Perpignan depuis le jour de l'accident21. Cette fermeture est levée le 21 octobre 201922, soit près de deux ans après. La reprise des circulations ferroviaires est alors envisagée pour mars 2020, après des travaux de modernisation de la ligne et le réaménagement du passage à niveau23. La ligne ne devait rouvrir que le 6 avril 2020, et uniquement entre Perpignan et Ille-sur-Têt, en raison d'un éboulement de terrain qui a eu lieu en janvier 2020 au-dessus de Prades, fragilisant la falaise et endommageant la voie ferrée24. Cependant, en raison de la pandémie de Covid-19, l'ouverture est finalement reportée au 21 mai 202025,26. Ce n'est que le 31 août suivant que la ligne est rouverte d'Ille-sur-Têt à Prades27, et le 16 novembre entre Prades et Villefranche28,29. Caractéristiques[modifier | modifier le code] Équipement[modifier | modifier le code] La ligne est à voie unique, électrifiée30 en 1 500 volts continu et est exploitée par 3 régimes d'exploitations différents, eux-mêmes associés à 3 types de signalisations : de Perpignan à la bifurcation avec la LGV de Perpignan à Figueras : double voie banalisée équipée du block automatique lumineux (BAL)31 ; de la bifurcation avec la LGV à Ille-sur-Têt : une voie banalisée équipée du block automatique à permissivité restreinte (BAPR)31 ; d'Ille-sur-Têt à Villefranche : voie unique à signalisation ordinaire (VUSO) équipée du cantonnement téléphonique (CT) assisté par informatique (CAPI)31. Desserte[modifier | modifier le code] Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ? Notes et références[modifier | modifier le code] ↑ Revenir plus haut en :a et b France. Commission des Annales des ponts et chaussées, Annales des ponts et chaussées: Partie technique. Mémoires et documents relatifs a l'art des constructions et au service de l'ingénieur, 1876 p. 375 extraits [archive] (consulté le 5 novembre 2011). ↑ Revenir plus haut en :a b et c Fédération historique du Languedoc méditerranéen et du Roussillon, Perpignan, 1969, volume 42 de Congrès Fédération historique du Languedoc méditerranéen et du Roussillon, 1870 p. 87 extrait [archive] (consulté le 2 novembre 2011). ↑ Le Chemin de fer, professionnel, technique, commercial et politique..., volume 5, 1896, p. 176 extrait [archive] (consulté le 7 novembre 2011). ↑ Site laregion.fr, Dossier de presse : 22,0 M€ pour la modernisation de la ligne Perpignan - Villefranche-de-Conflent, 16 février 2009, p. 3 lire [archive] (consulté le 7 novembre 2011) ↑ France. Sénat, Annales du Sénat et du Corps législatif, Volumes 3 à 4, Administration du Moniteur universel, 1863, p. 14 intégral [archive] (consulté le 2 novembre 2011). ↑ France, Répertoire méthodique de la législation des chemins de fer français : Ministère des Travaux Publics. Direction de l'exploitation, du contrôle financier et de la statitstique des chemins de fer. Division du contrôle des comptes de compagnies et de la statistique. Supplément. Imprimerie Nationale, 1864 p. 145 intégral [archive] (consulté le 2 novembre 2011). ↑ Revenir plus haut en :a b et c France, Bulletin des lois de la République française, imprimerie nationale, 1864 p. 374 intégral [archive] (consulté le 2 novembre 2011). ↑ Edmund est orthographié Edmond dans plusieurs sources françaises de l'époque. ↑ France, Bulletin des lois de la République française, imprimerie nationale, 1864 pp. 372-373 [books.google.fr/books?id=HS0tAAAAYAAJ&pg=PA372#v=onepage&q&f=false intégral] (consulté le 2 novembre 2011). ↑ France. Assemblée nationale, Annales de l'Assemblée nationale : Compte-rendu in extenso des séances, volume 29, Journal officiel, 1874, p. 317 extraits [archive] (consulté le 2 novembre 2011). ↑ Site univ-perp.fr, Edwige Praca, Madeleine Souche, Industrie métallurgique et protestantisme dans les Pyrénées-Orientales : l'exemple des sociétés Holtzer à Ria (1859-1909), article p. 14 lire [archive] ↑ France. Commission des Annales des ponts et chaussées, opus cité, 1876 p. 376 (consulté le 5 novembre 2011). ↑ J. B. Duvergier, Lois, décrets, ordonnances, règlements et avis du Conseil d'État, 1870, p. 177 intégral [archive] (consulté le 2 novembre 2011). ↑ Revenir plus haut en :a et b « N° 14215 - Loi qui approuve la convention passée, le 9 juin 1883, entre le ministre des Travaux publics, et la Compagnie des chemins de fer du Midi : 20 novembre 1883 », Bulletin des lois de la République Française, Paris, Imprimerie Nationale, xII, vol. 28, no 834,‎ 1884, p. 340 - 345 (lire en ligne [archive]). ↑ « No 8168 — Loi qui classe 181 lignes de Chemins de fer dans le réseau des Chemins de fer d’intérêt général : 17 juillet 1879 », Bulletin des lois de la République française, 12e série, vol. 19, no 456,‎ 1879, p. 6 - 12 (ISSN 1272-6397, lire en ligne [archive]). ↑ Site gallica.bnf.fr, Rapports et délibérations - Pyrénées-Orientales, Conseil général , 1880/08, p. 47 et 118 intégral [archive] (consulté le 6 novembre 2011). ↑ « N° 42960 - Loi ayant pour objet de déclarer d'utilité publique, à titre d'intérêt général, le chemin de fer à voie d'un mètre de Villefranche-de-Conflent à Bourg-Madame et d'approuver la convention passée avec la Compagnie du chemin de fer du Midi pour la concession définitive de ce chemin de fer, au lieu et place de la section comprise entre Villefranche-de-Conflent et Olette de la ligne à voie normale de Prades à Olette : 4 mars 1903 », Bulletin des lois de la République Française, Paris, Imprimerie Nationale, xII, vol. 66, no 2440,‎ 1903, p. 861 - 865 (lire en ligne [archive]). ↑ Revenir plus haut en :a et b « Tragédie au passage à niveau à Millas : « C’est un spectacle d’horreur» [archive] »], Le Parisien, 15 décembre 2017 (consulté le 16 décembre 2017). ↑ « Collision à Millas : le bilan s'alourdit à six morts » [archive], RTL, 18 décembre 2017 (consulté le jour même). ↑ « Au moins quatre collégiens morts dans la collision entre un train et un bus scolaire à Millas [archive] », France Bleu, 14 décembre 2017 (consulté le 16 décembre 2017). ↑ Rail Passion no 247 (mai 2018) : « Perpignan - Villefranche-de-Conflent suspendue », p. 10. ↑ « Drame de Millas : les juges de Marseille lèvent la fermeture de la ligne SNCF Perpignan-Villefranche-de-Conflent » [archive], France 3, 21 octobre 2019 (consulté le 26 octobre 2019). ↑ « Drame de Millas : la réouverture de la ligne SNCF Perpignan-Villefranche-de-Conflent est prévue pour mars 2020 » [archive], France 3, 23 octobre 2019 (consulté le 26 octobre 2019). ↑ « Drame de Millas : la ligne SNCF rouvrira dès le 6 avril entre Perpignan et Ille-sur-Têt » [archive], L'indépendant, 13 février 2020 (consulté le 12 mars 2020). ↑ « Drame de Millas : les trains à nouveau sur les rails entre Perpignan et Ille-sur-Têt dès le 21 mai prochain » [archive], L'indépendant, 4 mai 2020 (consulté le 5 mai 2020). ↑ « Drame de Millas : un TER a effectué la liaison entre Perpignan et Ille-sur-Têt pour la première fois depuis l'accident [archive] », sur France 3 Occitanie (consulté le 18 juillet 2020). ↑ « La ligne SNCF Perpignan-Prades rouvre après deux ans et demi de fermeture » [archive], France Bleu, 31 août 2020 (consulté le 4 octobre 2020). ↑ « Réouverture de la section de ligne Île-sur-Têt - Prades » [archive], Rail Passion, 3 octobre 2020 (consulté le 4 octobre 2020). ↑ « Le trafic ferroviaire entre Perpignan et Villefranche-de-Conflent reprend trois ans après le drame de Millas » [archive], France 3, 16 novembre 2020 (consulté le 17 novembre 2020). ↑ [PDF] Carte du réseau ferré en France [archive] édition du mois d'avril 2019, consultée sur la page (ouvrir en ligne [archive]) du site de SNCF Réseau. ↑ Revenir plus haut en :a b et c SNCF Réseau, « Normes de tracé horaire sur les lignes régionales [archive] » [PDF], Document opérationnel, sur sncf-reseau.com, 28 février 2019 (consulté le 25 avril 2020), p. 245/285. Bibliographie[modifier | modifier le code] Jean Cuynet, La traction électrique en France : 1900-2005, Paris, La Vie du Rail, 2005, 143 p. (ISBN 978-2-915034-38-7 et 2-915034-38-9). Jean Castex, La ligne de chemin de fer de Perpignan à Villefranche : prélude de la ligne de Cerdagne, Canet-en-Roussillon, Éditions Talaia, 2017, 103 p. (ISBN 978-2-917-85972-8). Voir aussi[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia : Images de la ligne de Perpignan à Villefranche - Vernet-les-Bains, sur Wikimedia Commons Articles connexes[modifier | modifier le code] Transport ferroviaire dans les Pyrénées-Orientales Transports dans les Pyrénées-Orientales Liste des lignes de chemin de fer de France Liens externes[modifier | modifier le code] La ligne sur le site Rail 21 [archive] La liaison ferroviaire Villefranche de Conflent - Perpignan [archive] Sur le site "Rue du petit train" [archive] Profil en long de la ligne de Perpignan à Villefranche - Vernet-les-Bains [archive] (Wikimidi [archive]) Portail du chemin de fer Portail des Pyrénées-Orientales Catégories : Ligne électrifiée en 1500 V continu Ligne de Perpignan à Villefranche - Vernet-les-Bains Villefranche-de-Conflent
  2. WOHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH !!!!!!!!!!! tu peux faire un bêta ? la ca me donne envie de faire un peprignan toulouse sur la linge du midi incroyable gg
  3. Le matos sur la linge 2005-2017 des z2 qui on été retirer a cause de l'acident du car de millas la linge a était fermer pendant plus 1 ans pour rénovation de la linge 2010 une association qui se nome APCC6570 2021 ou 2022 les agc arrive sur la linge ! plus réouverture de la linge voici le départ d'un z2 a ille sur têt départ d'un AGC la gare de Ille sur têt en travaux Pas de vidéo trouver pour la cc au REVOIR !
  4. lespotteur99

    Un projet

    bonjour j'ai commencer un projet de faire la linge perpignan villefranche le matos est des z2 est des agc lio la bêta sera quand j'aurais fait max le tronçon PERPIGNAN ille sur tet bref j'en dit pas plus si vous avez un cabride je veut bien
  5. c'est dommage c'est une belle linge en plus
    Très bonne linge bravo avec son lot de déco aussi
    Salut Merci beaucoup pour cette superbe ligne avec des décors jolie est les voie ect 20 sur 20 Parfait
    Très bonne map avec beaucoup de déco est de payasage avec beaucoup gare j'adodre 200KM de voie aussi ca j'aime pour l'agc le faire rouler a 160KM ca part comme une fusée !!! bref 20 sur 20
    Très bonne map on voit le travail qui a était donné 20 sur 20 bravo
  6. J'ai une question est ce que tu vas faire aussi la linge Perpignan Villefranche
    très bien fait Zawal moi qui vien du sud manque plus la linge perpignan villefranche vernai les bains sinon Super ! Merci !
  7. j'ai hâte que ca sort
  8. Version 1.2.0

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    bonjour je mais dispo mon pack de scénario les prérequis sont dans le texte dans le ficher fait sur cette linge BONNE GAME Ligne de Narbonne à Port-Bou (frontière) Ligne de Narbonne à Port-Bou (frontière) Carte de la ligne Voir la carte de la ligne. Voir l'illustration. Pays France, Espagne Villes desservies Narbonne, Rivesaltes, Perpignan Historique Mise en service 1858 – 1878 Électrification 1981 – 1982 Concessionnaires MIDI (1852 – 1937) SNCF (1938 – 1997) RFF (1997 – 2014) SNCF (depuis 2015) Caractéristiques techniques Numéro officiel 677 000 Longueur 107,155 km Écartement standard (1,435 m) Électrification 1500 V continu Pente maximale 14 ‰ Nombre de voies Double voie Signalisation BAL Trafic Propriétaire SNCF Exploitant(s) SNCF Trafic TGV, Intercités de nuit, TER Fret Schéma de la ligne modifier La ligne de Narbonne à Port-Bou (frontière)1 est une ligne de chemin de fer électrifiée, à écartement standard et à double voie longue de 107 kilomètres, située en quasi-totalité en France, en région Occitanie. Mise en service de 1858 à 1878 par la Compagnie des chemins de fer du Midi et du Canal latéral à la Garonne, la ligne relie Narbonne à Portbou en Espagne, à la frontière franco-espagnole. Ce maillon international entre la France et la Catalogne dessert les départements de l’Aude et des Pyrénées-Orientales. Elle constitue la ligne 677 0002 du réseau ferré national. Histoire[modifier | modifier le code] Chronologie[modifier | modifier le code] 20 février 1858, mise en service de Narbonne à la gare du Vernet (Perpignan)3, 12 juillet 1858, mise en service du Vernet à Perpignan4, 21 mars 1866, mise en service de Perpignan à Collioure5, 18 août 1867, mise en service de Collioure à Port-Vendres-Ville6, 14 août 1875, mise en service de Port-Vendres à Banyuls et de l'embranchement de Port-Vendres-quais6, 23 janvier 1878, mise en service de Banyuls à Cerbère et Port-Bou6. Ligne de la Compagnie du Midi[modifier | modifier le code] Narbonne à Perpignan[modifier | modifier le code] Le chemin de fer de Narbonne à Perpignan est concédé, avec le chemin de fer de Bordeaux à Cette et du canal latéral à la Garonne et le chemin de fer de Bordeaux à Bayonne, à Messieurs Ernest André (suit une liste de nom, dont les frères Péreire). par décret le 24 août 1852, suivant la convention du 24 août 1852 passée avec le ministre des travaux publics7. Cette concession donne naissance à la Compagnie des chemins de fer du Midi et du Canal latéral à la Garonne, dont la création est annoncée dans la partie officielle du Moniteur des chemins de fer au mois de novembre 18528. Pont sur la Têt (1873) Pour l'État, l'intérêt de cette ligne est notamment de permettre des relations avec Barcelone et la Catalogne, la place de Perpignan et les forts du Roussillon, les établissements thermaux des Pyrénées-Orientales, et Port-Vendres qui doit ainsi en étant plus proche que Toulon des côtes algériennes pouvoir développer son trafic portuaire. En 1855, la quasi totalité du tracé est approuvé, ce qui permet l'ouverture des chantiers. Les travaux comportent d'importants remblais et quelques ouvrages d'art, notamment des ponts. Des intempéries retardent la construction de ceux de La Nouvelle, Rivesaltes et sur l'Agly ce qui ne permet d'ouvrir la ligne comme prévu au mois de décembre 1857 mais seulement le 20 février 1858 pour les 58 kilomètres de la section de Narbonne au Vernet, où une station terminus provisoire est établie sur la rive gauche de la Têt. Un service d'omnibus est mis en place pour transporter les voyageurs du Vernet au centre-ville de Perpignan3. Le prolongement de la ligne jusqu'à Perpignan, sur la rive droite de la Têt, autorisé que le 3 juillet 1857, est ouvert le 12 juillet 1858. La gare est terminée, elle est établie près du pont sur la Têt, mais sur un point haut pour éviter les risques dus aux débordements du fleuve, et hors des fortifications, exigence des militaires, à 500 mètres des limites fortifiées de l'ouest de la ville. La gare provisoire du Vernet, située en zone inondable, est détruite du fait du coût des travaux nécessaires pour la rendre pérenne. Les trains omnibus mettent deux heures et cinq minutes pour parcourir le chemin entre Narbonne et Perpignan4. Perpignan à Port-Vendres[modifier | modifier le code] Le prolongement de Perpignan à Port-Vendres est concédé à titre éventuel à la Compagnie du Midi selon une convention signée entre le ministre secrétaire d'État au département de l'Agriculture, du Commerce et des Travaux publics et la compagnie le 22 décembre 1859. Cette convention est approuvée par décret le 11 juin 1859. Ce tronçon est déclaré d'utilité publique et la concession est déclarée définitive par décret impérial le 16 janvier 18619. L'État, considérant que cette ligne est principalement stratégique, décide de prendre l'infrastructure à sa charge et débute les travaux en 1861. Pont sur le Tech (1873). Un décret du 11 juin 1863 rétrocède la construction à la Compagnie du Midi en lui accordant une subvention de neuf millions de francs. Néanmoins c'est l'État qui poursuit les travaux jusqu'à leur achèvement, la Compagnie lui reversant les sommes nécessaires au fur et à mesure de leur avancement. La première section jusqu'à Colioure comporte plusieurs ouvrages d'art importants comme le tunnel, long de plus de cinq cents mètres, situé juste avant la gare de Collioure. Mais c'est le franchissement du Tech qui va poser le plus de problèmes. Les ingénieurs de l'État ont prévu un viaduc en maçonnerie composé de dix-sept arches, de dix à vingt mètres d'ouverture, posées sur des piles situées dans le lit du fleuve. Mais le fond vaseux rend difficile la construction des fondations, au point d'inciter l'entrepreneur, responsable de ce chantier, à résilier son contrat. C'est la Compagnie qui prend en charge ce franchissement en modifiant l'ouvrage remplacé par un pont en fer constitué de seulement trois piliers, en maçonnerie, supportant quatre travées métalliques longues de 40 mètres. Du fait de ce problème, la prévision d'une ouverture à l'automne 1865 ne peut être tenue car l'ouvrage n'est terminé qu'en février 1866. À sa mise en exploitation le 21 mars 1866 la section comporte deux stations : Elne et Argelès, et une halte à Palau-del-Vidre. C'est un service de camionnage qui permet de faire le lien avec la zone portuaire de Port-Vendres5. Les trains atteignent Port-Vendres-Ville le 18 août 1867. Port-Vendres à Port-Bou (frontière)[modifier | modifier le code] Le 14 juin 1861, un décret impérial déclare d'utilité publique la ligne entre Port-Vendres et la frontière d'Espagne10. Elle est concédée à la Compagnie des chemins de fer du Midi et du Canal latéral à la Garonne selon les termes d'une convention signée entre le ministre de l'Agriculture, du Commerce et des Travaux publics et la compagnie le 1er mai 1863. La convention est entérinée par décret le 11 juin 186311. Les voies sont mises en service jusqu'à Banyuls le 14 août 1875. Enfin, Port-Bou est atteint le 23 janvier 1878. Dans le tunnel entre Cerbère et Port-Bou, il existe deux voies distinctes : La première à écartement standard utilisée par les trains français faisant leur terminus à Port-Bou, et une à écartement large permettant aux trains espagnols d'arriver à Cerbère. L'exploitation du tronçon international est gérée dans un premier temps par des conventions franco-espagnoles provisoires. Une convention définitive est signée le 20 juillet 1882. Cette convention est ratifiée par une loi le 12 juillet 188312, et promulguée par décret le 31 août 188313. Évolution de la ligne[modifier | modifier le code] Le projet pour établir une seconde voie entre Narbonne et Mandirac est transmis au ministre des travaux publics le 6 avril 1877, avec un avis favorable des ingénieurs du contrôle14. La ligne est progressivement équipée d'une deuxième voie sur toute sa longueur jusqu'en 1883. Avant la première guerre mondiale, le tronçon entre Banyuls et Cerbère a été équipé de block manuel Regnault. Le reste de la ligne étant exploité en cantonnement téléphonique15. Ligne de la SNCF[modifier | modifier le code] En 1961, la ligne est équipée sur la totalité de sa longueur en block manuel uniformisé Sud-Est. De 1976 à 1982 il est remplacé progressivement par du block automatique lumineux. Le 18 septembre 1981 la ligne a été électrifiée par caténaire en courant continu 1 500 volts entre Narbonne et Elne, puis le 29 avril 1982 jusqu'à Port-Bou16. L'électrification en 1 500 V continu et la signalisation de type block automatique lumineux (BAL) datent du 23 septembre 1981 pour la première section de Narbonne à Elne17, et du 29 avril 1982 pour la seconde d'Elne à Port-Bou. Le projet avait été élaboré, dans les années 1930, par la Compagnie du Midi, mais l'exécution des travaux a été retardée à la suite des guerres, et commencée à la fin des années 1970, après le choc pétrolier de 197318. Caractéristiques[modifier | modifier le code] Tracé[modifier | modifier le code] L'imbrication des voies permettant de franchir le Tech près d'Elne (66). À la sortie de la gare de Narbonne, la ligne passe le pont sur le canal de la Robine en parallèle avec les lignes de Narbonne à Bize et de Bordeaux-Saint-Jean à Sète-Ville dont elle se détache peu après en plongeant vers le sud. Elle pénètre alors dans des zones basses et marécageuses en contournant par l'est l'étang de Bages-Sigean, puis en passant sur des étroites bandes de terre entre les étangs, de la Sèche et de l'Ayrolle, avant de franchir le pont sur le chenal de Port-la-Nouvelle et d'arriver en gare de Port-la-Nouvelle. La ligne, établie sur des remblais, suit maintenant la bande littorale, laisse sur sa droite la lagune de l'étang de La Palme, dessert la gare de Leucate-La Franqui et quitte la bordure littorale pour rejoindre la gare de Salses. Peu après la sortie de la gare elle s'engage sur la rive ouest de l'étang de Leucate qu'elle quitte après avoir passé la limite entre les départements de l'Aude et des Pyrénées-Orientales. La ligne suit alors un tracé parallèle à l'autoroute A9 dont elle s'éloigne légèrement peu avant d'atteindre la gare de Salses. Ensuite, elle se dirige plus vers l'ouest, passe sous l'autoroute et franchit le Reboul et l'Agly avant d'arriver en gare de Rivesaltes et l'embranchement de la ligne de Carcassonne à Rivesaltes. Contournant la ville par l'est, elle se dirige de nouveau vers le sud, repasse sous l'autoroute, franchit le Têt et arrive en gare de Perpignan19,3. Vue des installations de la gare de Cerbère. Après avoir contourné la ville de Perpignan par l'ouest, la ligne va en direction du sud-ouest traverser, souvent sur des remblais, la plaine alluviale. Elle franchit le Réart par un pont de cinq arches, passe près de Corneilla-del-Vercol, et arrive en gare d'Elne à l'ouest de la ville. En parallèle avec la ligne d'Elne à Arles-sur-Tech elle franchit le canal d'Elne et arrive au Tech qu'elle franchit par un pont métallique qui comporte deux voies imbriquées l'une dans l'autre sans aiguilles. Le pont s'était effondré lors d'une crue, en 1940, pendant la Seconde Guerre mondiale et faute de crédits cette disposition originale a été adoptée pour le reconstruire20. Ce pont est à voie unique mais sans avoir d'appareil de voie pour gérer le passage des trains selon le sens21. Après ce pont la ligne, sur un tronçon rectiligne, franchit sur des viaducs, les rivières de la Riverette et de la Massane, avant d'arriver en gare d'Argelès-sur-Mer. Par une suite de tranchées et de remblais elle rejoint le littoral, établie en corniche au pied du Massif des Albères elle surplombe la mer, franchit une anse par le viaduc du Ravanel et traverse le tunnel de la Croix-de-Force avant d'arriver en gare de Collioure22. Sur cette section les pentes ne dépassent pas les 5 mm/m5. La suite du tracé est établie « à travers les reliefs pyrénéens s'avançant en promontoire dans la mer ». À la sortie de la gare de Collioure, la ligne, par une faible rampe, atteint l'entrée du tunnel, de 842 mètres creusés sous le fort Saint-Elme, puis elle rejoint la gare de Port-Vendres-Ville, d'où un embranchement permet de rejoindre Port-Vendres-Quais. Tout en courbes le tronçon suivant traverse le tunnel de Las Portas 404 m, franchit le viaduc de Cosprons puis les tunnels de Perternère 397 m et Las Elmes 84 m avant de desservir la gare de Banyuls-sur-Mer. Puis elle contourne la station par l'ouest, franchit la Baillaury, puis dans un profil devenu difficile les tunnels de Peyrefitte 1 231 m et Canadeils 96 m avant d'atteindre la gare frontière de Cerbère et son complexe ferroviaire comportant les voies à écartement standard du réseau français et celle à écartement large du réseau espagnol. Un atelier de changement d'essieux permet aux wagons de marchandises de passer d'un réseau à l'autre23. Ensuite la ligne en parallèle avec la ligne espagnole franchit le Ribéral et pénètre dans le tunnel des Balitres long de 1 064 m, la frontière passe par son centre. Elle en ressort, en Espagne, pour atteindre la gare de Portbou où se trouve la fin de la voie à écartement standard24,6. Ouvrages d'art[modifier | modifier le code] Nom PK Long. Pont sur le canal de la Robine 405.435 52 m Pont sur le chenal de Port-la-Nouvelle 424,605 86 m Pont sur le Reboul 458,068 46 m Pont sur l'Agly 458,365 159 m Pont sur la Têt 467,042 179 m Pont sur la Basse 467,813 50 m Viaduc du Réart 473,958 70 m Pont sur le canal d'Elne 481,470 70 m Pont sur le Tech 482,761 245 m Viaduc de la Riberette 485,214 84 m Viaduc de la Massane 489,041 106 m Viaduc du Ravanel 493,551 80 m Tunnel de la Croix-de-Force 493,968 560 m Pont du Douy 494,968 54 m Tunnel de Saint-Elme 495,852 842 m Galerie du ch. de Banyuls 497,824 27 m Tunnel de Las Portas 498,441 404 m Viaduc de Cosprons 500,180 78 m Tunnel de Perternère 500,616 397 m Tunnel de Las Elmes 501,474 84 m Viaduc de Baillaury 503,065 150 m Tunnel de Peyrefitte 504,410 1232 m Tunnel de Canadeils 508,105 96 m Pont du Ribéral 508,908 105 m Tunnel des Balitres 509,160 1064 m Équipement[modifier | modifier le code] La ligne est électrifiée en 1 500 V continu25, équipée du block automatique lumineux (BAL)26, dotée du contrôle de vitesse par balises (KVB)27 et d'une liaison radio sol-train sans transmission de données28. Vitesses limites[modifier | modifier le code] Vitesses limites de la ligne en 2012 pour les TGV, AGC, Z2, trains V 160 ou X 72500, en sens impair (certaines catégories de trains, comme les trains de marchandises, possèdent des limites plus faibles)29 : De (PK) À (PK) Limite (km/h) Narbonne Voyageurs Perpignan Voyageurs 150 Perpignan Voyageurs Collioure 140 Collioure Cerbère 100 Cerbère Port-Bou 40 Trafic[modifier | modifier le code] Bien que le terminus de la ligne soit situé à Portbou, la majorité des trains ont leur terminus à Cerbère, la gare frontière (voir photo). C'est le cas des TER arrivant de Toulouse et d'Avignon. La principale gare de la ligne est celle de Perpignan, puis celle de Narbonne. Celle de Cerbère est également importante car elle constitue le terminus de plusieurs trains circulant sur la ligne. La ligne est fréquentée essentiellement par des TER Occitanie, qui relient surtout Narbonne ou Perpignan à Cerbère et Portbou. Il circule également les TGV venus de Paris-Lyon, à destination de Perpignan ; l'Intercités de nuit Paris-Austerlitz – Cerbère. À cela s'ajoutent les trains de fret circulant entre Perpignan / Narbonne / Marseille / Bordeaux / Toulouse et l'Espagne. La ligne fait partie du Corridor européen D (de Valence à Budapest) et devrait être équipée de l'ETCS niveau 1 à l'horizon 201830. À la suite de la mise en service de la ligne LGV vers Barcelone à partir du mois de décembre 2013, les Talgo reliant cette ville à Montpellier furent remplacés par plusieurs TGV. Galerie de photographie[modifier | modifier le code] Entre Narbonne et Perpignan, passage entre la mer et l'étang de Leucate. Passage d'un Talgo au PN 413 (PK 453,949) de la ligne en 2013. Enchevêtrement du viaduc du Tech. Gare d'Elne. Notes et références[modifier | modifier le code] ↑ Bien que l'orthographe soit « Portbou », il est souvent fait usage de l'orthographe « Port-Bou » dans la documentation de la SNCF. ↑ Livre : Reinhard Douté, Les 400 profils de lignes voyageurs du réseau ferré français, édité par La Vie du Rail en août 2011, (ISBN 978-2-918758-44-0), volume 2, page 60. ↑ Revenir plus haut en :a b et c François et Maguy Palau, 2001, p. 10. ↑ Revenir plus haut en :a et b François et Maguy Palau, 2001, p. 35. ↑ Revenir plus haut en :a b et c François et Maguy Palau, 2004, p. 60. ↑ Revenir plus haut en :a b c et d François et Maguy Palau, 2004, p. 125. ↑ « N° 4401 - Décret qui approuve la convention passée, le 24 août 1852, pour la concession du chemin de fer de Bordeaux à Cette, et du canal latéral à la Garonne, ainsi que des chemins de fer de Bordeaux à Bayonne et de Narbonne à Perpignan : 24 août 1852 », Bulletin des lois de la République Française, Paris, Imprimerie Nationale, x, vol. 10, no 573,‎ 1852, p. 475 - 480 (lire en ligne [archive]). ↑ « La partie officielle du Moniteur de dimanche contient plusieurs décrets. Il en est un qui autorise la compagnie des chemins de fer du Midi et du canal latéral à la Garonne. », Journal du Loiret (supplément au n° du samedi 6 novembre 1852),‎ 6 novembre 1852, p. 1 (lire en ligne [archive], consulté le 9 novembre 2016). ↑ « N° 8686 - Décret impérial qui déclare d'utilité publique l'établissement d'un chemin de fer de Perpignan à Port-Vendres : 16 janvier 1861 », Bulletin des lois de l'Empire Français, Paris, Imprimerie Impériale, xI, vol. 17, no 901,‎ 1861, p. 148 - 149. ↑ « N° 9332 - Décret impérial qui déclare d'utilité publique l'établissement d'un chemin de fer de Port-Vendres à la frontière d'Espagne : 14 juin 1861 », Bulletin des lois de l'Empire Français, Paris, Imprimerie Impériale, xI, vol. 18, no 953,‎ 1861, p. 243 - 244. ↑ « N° 11553 - Décret impérial qui approuve la convention passée, le 1er mai 1853, entre le ministre de l'Agriculture, du Commerce et des Travaux publics et la Compagnie des chemins de fer du Midi et du Canal latéral à la Garonne : 11 juin 1863 », Bulletin des lois de l'empire français, Paris, Imprimerie Impériale, xI, vol. 22, no 1141,‎ 1863, p. 153 - 158. ↑ « N° 13760 - Loi qui approuve la convention signée entre la France et l'Espagne, le 20 juillet 1882, et relative aux services de surveillance et de douane sur les chemins de fer de Tarragone à Barcelone et France et du midi de la France : 12 juillet 1883 », Bulletin des lois de la République Française, Paris, Imprimerie Nationale, xII, vol. 27, no 811,‎ 1883, p. 885 (lire en ligne [archive]). ↑ « N° 13761 - Décret portant promulgation la convention relative aux services de surveillance et de douane sur les chemins de fer de Tarragone à Barcelone et France et du midi de la France signée entre la France et l'Espagne le 20 juillet 1882 : 31 août 1883 », Bulletin des lois de la République Française, Paris, Imprimerie Nationale, xII, vol. 27, no 811,‎ 1883, p. 886 - 891 (lire en ligne [archive]). ↑ « Ligne de Narbonne à Banyuls-sur-mer », Rapports et délibérations / Conseil général du département de l'Aude,‎ août 1877, p. 185-186 (lire en ligne [archive], consulté le 11 novembre 2016). ↑ Daniel Wurmser, « Chapitre III : Chemins de fer du Midi », dans Signaux mécaniques : Réseaux Ouest-État, PO, Midi, t. II, Grenoble, Presses et éditions ferroviaires, 2008, 160 p. (ISBN 2905447273), p. 134 - 147 ↑ Pierre Laederich (dir.) et André Jacquot (dir.), « Les Pyrénées Orientales », dans Encyclopédie générale des transports : Chemins de fer, t. 11, Valignat, Éditions de l'Ormet, novembre 1993 (ISBN 2-906575-16-X), p. 66.04 ↑ « Gare de Narbonne [archive] », sur Christophe Lachenal (association AEDTF) (consulté le 12 novembre 2016). ↑ Bernard Collardey, « Narbonne - Port Bou, une artère florissante » dans Rail Passion no 19, janvier 1998, p. 39 ↑ Site google.fr/maps carte de Narbonne à Perpignan [archive] (consulté le 21 mars 2014). ↑ Site latramontane.fr : un ouvrage ferroviaire unique en Europe [archive] (consulté le 21 mars 2014). ↑ Site rff.fr « RT 5303 - Carcassonne – Port-Bou : Conditions particulières de tracé, Pont du Tech [archive] », dans Normes de tracé horaire sur les lignes nationales pour le SA 2014 : document d'application, p. 16 (consulté le 21 mars 2014). ↑ Site google.fr/maps carte de Perpignan à Collioure [archive] (consulté le 21 mars 2014). ↑ Site fret.sncf.com « 14. Echange entre une Entreprise Ferroviaire ibérique et la SNCF de wagons aptes au changement d’essieux pour le trafic transpyrénéen [archive] », dans Conditions particulières Utilisation des wagons par la SNCF, Entreprise Ferroviaire, Conditions Commerciales - Fret SNCF – 1er janvier 2014 p. 8 (consulté le 21 mars 2014) ↑ Site google.fr/maps carte de Collioure à Port-Bou [archive] (consulté le 21 mars 2014). ↑ [PDF] RFF - Carte des lignes électrifiées [archive] (consulté le 21 mars 2014) ↑ [PDF] RFF - Carte des modes d’espacement des trains [archive] (consulté le 21 mars 2014) ↑ [PDF] RFF - Carte des lignes équipées de contrôle de vitesses [archive] (consulté le 21 mars 2014) ↑ [PDF] RFF - Cartes des lignes équipées de liaisons avec les trains [archive] (consulté le 21 mars 2014) ↑ Renseignements techniques SNCF/RFF - RT 5303 Carcassonne - Port-Bou et raccordement de Narbonne, version du 5 octobre 2011 ↑ ETCS : RFF prépare le réseau de demain [archive] Voir aussi[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] « Narbonne Portbou : la caténaire file vers l'Espagne », La Vie du rail, no 1734,‎ 3 août 1980. François Palau et Maguy Palau, Le rail en France : Le second Empire, t. 2 : 1858-1863, Paris, Palau, mai 2001, 223 p. (ISBN 978-2-9509421-2-8 et 2-9509421-2-1, BNF 37658881), « 3.4. Narbonne-Le Vernet et 3.18. Le Vernet-Perpignan », p. 10 et 35. François Palau et Maguy Palau, Le rail en France : Le second Empire, t. 3 : 1864-1870, Paris, Palau, 2004, 239 p. (ISBN 2-9509421-3-X, BNF 39191508), « 9.3. Perpignan-Collioure et 10.19. Collioure-Port Vendres », p. 60 et 125.
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